Archives de catégorie : Saison 2016 / 2017

Trail du Crève coeur et course verte de l’Estuaire

Aujourd’hui avait lieu de trail du Crève-Coeur, à Nemours. 2 courses étaient proposées, un 11 km et un 25 km.

Voici les résultats de nos représentants :

11 km :

  • Hervé Chauris, 19ème/269 en 56’22 (6ème VH1)
  • Audrey Martin, 126ème/269 en 1h09’11 (7ème SF)
  • Anne-Lise Sautron, 215/269 en 1h25’22 (27ème VF)

25 km :

  • Frederic Silvain, 88ème/296 en 2h28’45 (32ème VH1)
  • Virginie Gouet, 107ème/296 en 2h32’57 (4ème SF)
  • John O’Daly, 108/296 en 2h33’01 (29ème SH)
  • Fred Rivière, 170ème/296 en 2h45’24 (57ème VH1)
  • Patrick Février, 173/296 en 2h46’15 (37ème VH2)

De son côté, Etienne Chauvet a couru la course verte de l’Estuaire près de Nantes, un trail de 9,7 km avec du sable, des rochers et un peu de dénivelé quand même (175m).

Une belle 63ème place sur 252 participants, en 55’22 (22ème SH).

Trail des lacs

Dimanche 23 avril 2017, Joel GOUBIN et Alain SOFIANO ont participé au Trail des lacs à Clairvaux les Lacs dans le Jura. Ils ont pris le départ à 6 h du matin pour une course de 65 km mais rallongé à 71 km  avec un dénivelé positif de 2000 m.
 
"Une très jolie trail à travers les forêts de sapin avec 1 montée de 11 cascades le tours de 7 ou 8 lacs ou nous avons pu les admirer du haut des falaises :  1 vue à couper le souffle qui ne nous a pas manqué pour finir ce tracé de 71km rallongé". écrit Jo.
 
Mission accomplie pour Alain et Joël, il ont les points pour participer à  la Diagonale des Fous à l’Ile de la Réunion au mois d’Octobre. Ils finissent tous les deux en 10h19’04 ».
 
Bravo à vous deux

Marathon, semi-marathon et marathon relais de Bordeaux

En ce we de Pâques avait lieu le marathon de Bordeaux, auquel s’ajoutaient le relais en équipe ainsi que le semi-marathon.

Epreuves semi-nocturnes avec un départ à 20h dans une belle ambiance, près de 20 000 coureurs au départ.

13 membres du PNRT étaient présents pour représenter le club, avec de bons résultats :

Marathon :

  • Pascal Benard : 3h10’29 (92ème/2236, 12ème V2)
  • Vincent Billard : 3h13’04 (112/2236, 34ème V1)
  • Stéphane Martin : 3h26’31 (264ème/2236, 80ème V1)
  • Dominique Lefevre : 3h55’45 (939/2236, 266ème V1)

Marathon Relais :

  • Etienne Chauvet et Alain Auzat : 3h16’57 (35ème/849)
  • Anthony Jean et Olivia Dufresnoy : 3h48’10 (214ème/849)

Semi-marathon :

  • Angélique Przybos : 1h45’00 : (2198ème/11867, 35 V1)
  • Aurore Benauw : 1h53’38 (4140ème/11867, 276ème SE)
  • Marie-Pierre Molina : 1h54’06 (4259ème/11867, 189ème V1)
  • Maud Person : 1h54’59 (4486ème/11867, 309ème SE)
  • Anne-Marie Chèvre : 1h55’44 (4729ème/11867, 205ème V1)

Marathon de Paris

Dimanche 9 Avril 2 athlètes du Pays de Nemours Running trail ont participé au marathon de Paris : Sophie Bourgeois ( 4h15’55) et Patrick Février (3h56’31)

Compte rendu de Patrick Février : 

En totale absence de préparation spécifique « marathon », je partais un peu dans l’inconnu à l’entame de la belle épreuve qu’est le Marathon de Paris. Alors oui, comme d’hab’, objectif annoncé d’être « Finisher », mais j’espère secrètement en finir aux alentours des 3h45’.

Après avoir croisé Aline sur la ligne de départ, je me rends très rapidement compte que les jambes répondent plutôt bien, et la relative chaleur ambiante à 8h30 ne me gêne en rien. Mes premiers temps de passage me semblent quelque peu rapides (23’45’’ aux 5 kms, 47’50’’ aux 10 Kms) mais je laisse faire mes jambes. Le temps est splendide, beaucoup de sourires, l’ambiance est top, tout comme la belle ville que l’on traverse. Contrairement à mes habitudes, je m’oblige à boire, beaucoup, suivant en cela les nombreux conseils reçus en ce sens. Le passage aux 20 bornes en 1h38’15’’, comme celui au semi en 1h44’45’’, laissent présager un résultat au-delà des mes espérances, puisque sur des bases de 03h30 !
Oui mais voilà. Trop d’eau tue… mon bide ! Premier arrêt pour « évacuer » un peu le surplus, suivi de la première crampe d’estomac, qui me plie littéralement en deux. Le début d’un long calvaire. J’ai du m’arrêter pour vomir (que de l’eau) une bonne dizaine de fois, et la décision de stopper m’a plus qu’effleuré l’esprit. Dans ces conditions, à quoi bon continuer ?


C’est dans ces moments-là que le mental prend le dessus. Pour être exact, il essaie de prendre le dessus. Mais quand on ne peut courir que 300 mètres avant de s’arrêter à nouveau, le mental on l’envoie un peu balader ! Et puis on insiste. Un peu. Beaucoup. Et on se dit qu’on va aller au bout. La chaleur ? Une alliée pour moi ! Alors bien sûr, le passage aux 30 kms en 2h36’ m’a bien flingué le moral. Mais en même temps, d’être allé jusque-là tient déjà du miraculeux vu l’état de mon bide !


Et l’objectif change soudainement. « Mal ou pas mal, tu vas tenir, et la barre des 4 heures, tu passeras dessous » ! OK, on va essayer. « Non, on ne va pas essayer, on va le faire » ! Au mental, en serrant les dents. Il va donc s’agir de ne presque plus s’arrêter ! Chaque kilomètre parcouru est une victoire. Je regarde ma montre. Souvent. Ça devrait le faire. De justesse, mais ça va le faire. 40ème kilomètre, 3h39’15’’. Allez bonhomme, jusqu’au bout !

Au final, un temps de 3h56’31’’, qui me laisse à la fois très frustré mais également heureux juste parce que j’ai réussi à tenir en dépit de la douleur. Allez, comme d’habitude, je ne retiendrai que le positif, c’est quand même mieux comme ça !

 

Compte-rendu de Sophie :

Pour ma part c'était une expérience incroyable, dans une ambiance de fête tout au long du parcours et sous un soleil radieux. 

Mon objectif, quand je me suis inscrite était de le finir en moins de 5heures - objectif largement atteint puisque je l'ai couru en 4h15m55 s. 

J'ai pris beaucoup de plaisir à préparer cette course avec vous tous et je suis super fière de ma performance. 

Je l'ai faite à mon rythme, peut être un peut trop prudente, mais j'appréhendais l'après 30 km, (distance jamais couru avant) et surtout ma rencontre avec "le mur" (finalement pas trop brutale, nous avons fait connaissance tranquillement mais sûrement à partir du 31eme et au finish on se connaissait plutôt trop bien). 

C'était une belle aventure. 

Je voulais le finir, c'est maintenant chose faite.... 

J'ai le tee shirt Finisher et la médaille