C’est à Fontaine-le-Port que se sont retrouvés 23 athlètes du PNRT ce dimanche 19 mai afin d’aller gambader du côté de la Seine, entre forêt et champs, singles et chemins ! Objectif pour certains : Préparer la sortie club dans les Vosges les 15 et 16 juin prochains.
2 distances au programme avec un 10km pour 150D+ et un 23km pour 400D+.
Sur un terrain sec, les coureurs ont pu s’amuser sur des chemins parfois techniques, rapides, mais aussi sur des chemins plus larges et longs, de quoi allonger la foulée.
Beaucoup de podiums à l’arrivée.
Sur le 10km, sur 144 arrivants :
Anthony Jean termine 5ème en 43min49s (2ème SEM)
Laurent Mouchain termine 12ème en 46min45s (1er V3M)
Olivia Dufresnoy termine 37ème en 52min04s (2ème SEF)
Fred Rivière termine 58ème en 55min42s (15ème V1M)
Christel Level termine 67ème en 1h01min20s (1ère V3F)
Maud Person termine 68ème en 1h01min20s (6ème SEF)
Sophie Bourgeois termine 74ème en 1h01min46s (2ème V2F)
Audrey Martin termine 75ème en 1h01min46s (8ème V1F)
Jacqueline Vandrebreck termine 85ème en 1h02min01s (3ème V2F)
Anne-Marie Chèvre termine 94ème en 1h04min06s (5ème V2F)
Carole Benard termine 103ème en 1h05min27s (6ème V2F)
Annick Laurent termine 106ème en 1h06min39s (2ème V3F)
Marie-Lise Sautron termine 117ème en 1h10min22s (15ème V1F)
Laurence Aubry termine 118ème en 1h10min22s (7ème V2F)
Sur le 23km, sur 174 arrivants :
Pascal Benard termine 20ème en 1h48min23s (3ème V2M)
Hervé Chauris termine 24ème en 1h49min22s (12ème V1M)
Anaïs Pasqualini termine 49ème en 1h58min07s (3ème V1F)
Stéphane Martin termine 59ème en 2h00min01s (21ème V1M)
Frederic Silvain termine 69ème en 2h01min00s (25ème V1M)
Angélique Przybos termine 94ème en 2h08min29s (5ème V1F)
Gerard Bohic termine 98ème en 2h09min04s (17ème V2M)
Sylvie Dubois termine 139ème en 2h32min11s (9ème V1F)
Bruno Detilleux termine 142ème en 2h33min00s (29ème V2M)
Une bonne préparation pour tous. Récupération et retour à l’entrainement !
3 coureurs et une coureuse du PNRT étaient présents sur la ligne de départ du semi-marathon de Troyes ce dimanche 12 mai. Objectif pour certain(e)s : la qualification pour les championnats de France.
Franck : « Objectif « Bretagne » ce dimanche 12 mai. Et pour s’y rendre depuis Nemours, il va falloir passer par Troyes … Alors non, je n’ai pas de problème dans la lecture de cartes ou de programmation de GPS mais c’est une étape nécessaire pour que les jumeaux puissent participer ensemble aux championnats de France de semi à Auray-Vannes en septembre prochain.
Je suis un peu inquiet sur la fraîcheur de Fabrice car son we précédent a été particulièrement chargé en km et en dénivelé.
Après un échauffement assez court avec Laurent et un coucou à Brigitte, nous voilà bien placés pour le départ. Au coup de feu, ça part à une vitesse incroyable, nous sommes 5’’ plus rapides que prévu. Ça ne me rassure pas car il faut tenir et j’ai peur que nous payions cash le départ canon.
Après 3km, les rôles sont inversés et c’est Fabrice le meneur. Au 5ème, je peine à suivre et lui laisse même quelques mètres. Mes efforts pour revenir sont sanctionnés immédiatement et je perds aussitôt les mètres rattrapés. Au 8ème, je commence à avoir faim … au 12ème, j’ai vraiment trop chaud (même tenue qu’à Annecy alors qu’il fait 10 degrés de plus !). Fabrice est maintenant assez loin, il va trop vite pour moi. Il a l’air de tenir mais je sais que rien n’est jamais gagné. Au cas où, je serai là pour le rebooster s’il flanche.
Mais c’est plutôt moi qui flanche et ma tentative d’accélérer le rythme au 16eme ne prend pas. Je vais devoir attendre les deux derniers pour relancer. Fabrice est trop loin et je ne peux que réduire l’écart à 9’’. Mais l’objectif est atteint, la qualif est obtenue avec une belle marge.
Peu de temps après nous, arrive Brigitte, 8eme féminine et dignement récompensée par l’organisation…
Nous ratons Laurent pour aller à un ravitaillement indigne de ce nom, dommage !
Un merci tout particulier à Carlos dont les nombreux encouragements nous ont aidés dans les moments difficiles. »
Fabrice : « Semi de Troyes Il fait beau, il fait frais, et nous récupérons nos dossards après un peu plus d’une heure et demi de route. Le temps en ce qui me concerne est parfait, un sac poubelle me tiendra chaud jusqu’au départ. Avec Franck nous arrivons à nous placer correctement et pas loin de la ligne. C’est parti ! Nous partons ensemble et très vite je me place derrière Franck qui fait le lièvre. Première grande ligne droite et vent de face, malgré cela, les jambes déroulent bien. Premier kilo en 3mn45, c’est un peu rapide, on a intérêt à ralentir pour tenir les 21… 3m48, 3m50, c’est mieux, calé sur le bon rythme. 4eme en 3m40.. Ben mince alors, bon bah si ça va on va continuer 😁. Pas de coup de mou, et y paraît qu’il faut écouter son corps : fait toi plaisir ! Les deux premières boucles se passent bien. La température monte un peu mais une brise fraîche est là pour ventiler. La troisième boucle est un peu plus dure sur la fin mais peu importe, je sais que le chrono sera là ! Nous passons le meneur des 2h avant le dernier virage et l’arche d’arrivée est en vue. »
Résultat sur 1103 arrivants :
Fabrice Mandreux termine 45ème en 1h20’18 (11ème V1M) qualifié CF
Franck Dupré termine 46ème en 1h20’27 (12ème V1M) qualifié CF
Brigitte Da Silva termine 143ème en 1h29’07 (1ère V1F) qualifié CF
Laurent Bourgoin termine 341ème en 1h39’15 (45ème V2M)
Le PNRT se hisse à la 10ème place du classement par équipe (sur 18)
Dimanche 5 mai, Fabrice Mandreux participait au technitrail de Tiranges, un trail de 24km pour 1500m de dénivelé positif.
« Il fait 0 degré, il neige et avec le vent présent, le ressenti est bien négatif. Le départ est donné à 9h. On commence avec quelques belles mises en jambes avant d’attaquer la première grosse descente. Elles seront à peu près toutes similaires : il faut soit se tenir aux arbres, soit y aller sur le cul. J’essaye de me tenir à la première option. Vers le 8ème km arrive l’ascension de la fameuse coulée de lave de Bourianne. Là, c’est numéro d équilibriste, mais la photo parle d’elle même (et en fait c’est x3). Les décors s’enchaînent et ne se ressemblent pas. Même si l’on est pas très haut (800-900 m), ils sont magnifiques. Arrivé le château de Chalancon et son pont du diable. Après sa traversée, l’ascension qui suit nous offre une fois encore une vue splendide (photo). Nous sommes environ au 16-17ème et pour ma part, des prémices de crampes arrivent. Les derniers kilomètres se feront avec difficultés mais bon, on a signé, c’est pour en chier ! Un Trail somptueux, difficile, et très technique. A faire ! Arrivé en 3h17 et 46eme position »
5 membres du PNRT étaient à Sénart en ce mercredi 1er mai pour aller courir sur 10km, voire 42,195km pour 2 d’entre eux.
Franck : « Départ très matinal pour Combs-la-Ville avec Stéphane. Quelques tuyaux d’un vieux marathonien avec surtout la consigne de ne pas s’emballer, de bien partir au rythme travaillé pendant la prépa car je connais le Steph …
Ça bouchonne beaucoup cette année, pour accéder au parking puis pour prendre la navette mais pas de stress, nous sommes dans les temps. Une fois sur le site de départ, on découvre Jonathan. Une petite photo ensemble puis arrive David. Derniers encouragements et les voilà partis pour 42km195. Je vais me placer dans mon sas et je rencontre Virginie, pas très pressée de se mettre en place. Ben oui championne, tu vas rater le départ, ce serait dommage…
Coup de pistolet. J’avais dit départ raisonnable et me voilà à 3’35 au premier kilo ! Ce n’était pas ça la stratégie mais ça tient, deuxième kilo au même rythme. Idem au 3 et au 4. J’ai de l’avance et je ne m’inquiète pas quand je perds 10’’ au 5ème. Je sais que le dernier est en descente et je pourrais rattraper un éventuel retard, il faut donc tenir encore 4km sur le plat. Je tiens le 3’40 initialement prévu en forçant un peu. Bilan avant d’attaquer la descente, ma montre indique une moyenne de 3’38 donc aucun retard, c’est gagné pour la qualif !!! Le dernier kilo en 3’13 et je franchis la ligne en gagnant une grosse minute sur mon précédent record à Étampes : 36’05’’.
2019 est une grosse année !
Un petit tour vite fait chez les kinés pour un massage et je pars à la rencontre des marathoniens. Je rate Virginie mais je suis ravi de voir sur les résultats qu’elle a atteint son objectif … je n’en ai jamais douté.
Je marche donc en contre-sens de la course. En croisant les premiers, je comprends que le chrono ne va pas être exceptionnel cette année. Il faut dire qu’il fait très chaud. Quelques minutes après le meneur des 3h je vois David. Je sens que c’est dur mais il garde une foulée bien propre contrairement à d’autres. Stephane arrive peu de temps après. La fatigue est là, il n’est pas content de son allure (oui, c’est bien notre Steph) mais je trouve qu’il n’est pas démoli, il va finir, c’est sûr. Nous faisons les 5 derniers km ensemble. Il reçoit des dizaines d’encouragements : de moi mais aussi de beaucoup de spectateurs qui se prennent au jeu. Son prénom est scandé !
Il lui reste quelques forces pour accélérer dans la descente avant que les crampes ne s’emparent de lui. Mais tel un guerrier, il continue à courir avec une jambe toute droite et suscite l’admiration du speaker.
Bravo Steph, tu es marathonien … »
David se lançait également sur le marathon :
« Dans ma tête je suis prêt, un peu de fatigue car les deux journées de boulot précédent le jour J du marathon n’était pas facile.
Je pensais être tranquille pendant les vacances scolaire et non la politique ne s’arrête jamais J. Je me lance dans le sas des 3h avec derrière moi Stéphane. Le départ est donné, je pars tranquillement, je suis les conseils de Pascal et je prends mon allure assez rapidement sans forcer.
Après quelque km, je me sens bien, aucune difficulté, je garde mon rythme et je reste dans les temps fixés.
Je bois dans tous les ravitaillements. Le soleil se lève et la chaleur arrive à grand pas.
Jusqu’au 27/28 km toujours dans mes temps mais ça commence à être dur de garder mon rythme et j’ai très chaud.
Je ralentis sans le vouloir et je perds du terrain pendant au moins 10km pour rester dans les 3h. J’essaie d’accélérer dans les 2 derniers km.
Je termine en 3h09 – 79ème et podium 2ème départemental de Seine et Marne.
Je suis quand même content pour ma première expérience bien préparée.
J’ai encore du travail mais je sais que je peux mieux faire.
Un grand merci à Pascal pour son coaching et ses conseils. »
Au classement, sur 1033 arrivants :
David Chéron termine 89ème en 3h09min35s
Stéphane Guillard termine 95ème en 3h12min47s
Sur le 10km, pour 1782 arrivants :
Franck Dupré termine 66ème en 36min05s (qualifié CF)
Virginie Gouet termine 324ème en 42min45s (qualifiée CF)
4 athlètes du PNRT se sont élancés samedi 27 avril sur le trail du Beaujolais. Un 42km pour 2100D+ histoire de faire tourner les jambes, avec en vue toujours l’objectif du mois d’octobre….
« L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt parait-il…bon, nous, nous sommes partis à 7H15 pour rejoindre Le Perreon dans le Rhône pour participer au Trail du Beaujolais! Enfin, pas tous, car Joel était déjà sur place, avec l’age, il faut savoir se ménager et éviter les voyages sur la journée trop éreintant…
Quelques heures plus tard, nous voilà tous à pique-niquer sur la place du petit village de Cloche-merle! Moment simple et sympa de détente avant de penser à la course 10 minutes avant le départ, de faire une petite photo du sommet du village, le panneau de la course à l’envers😁 et nous voilà partis pour 42 km et 2100 de D+.
Très belle course, technique, exigeante entre montées sèches (550 m de D+ en 3 km au départ), descentes abruptes, parfois piégeuses, des singles en sous bois et courbes de niveaux, paysages de forêt alternant avec coteaux viticoles, petites traversées de rivières…Un parcours digne du Mucotrail version plus étendue!
Alors, la course me direz vous! Michel nous a quitté au 5 ème km, nous ne le reverrons qu’à l’arrivée. Après 12 km, regroupement derrière avec Jo, Fred et Manu. Au 29 ème, accélération meurtrière de Manu qui laisse ses compagnons seuls…sans véritablement s’en apercevoir😁!
Au final, Michel en 5H46 (130 ème), Manu en 6H19 (174 ème), Jo et Fred (193 et 194 ème) qui ne se sont plus quittés en 6H37…N’y voyez la aucun sous entendus, Corine nous surveillait à l’arrivé…ainsi qu’une bouteille de Beaujolais, cadeau finisher!
Une bonne douche chaude, un repas chaud prévu dans l’inscription, 3h15 de route pour un coucher vers 2h du matin, toujours sans Jo…et nous avons clôturé une belle journée de fous, une bonne entrée en matière pour notre objectif du mois d’octobre…mais chut…nous en reparlerons plus tard! »